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arts-ticulation
7 juillet 2021

Dries Depoorter - The Flemish Scrollers

Des politiciens surveillés par des caméras de reconnaissance faciale et intelligence artificielle pour traquer la moindre distraction.

The Flemish Scrollers (“Les scrolleurs flamands”) est un projet signé de l’artiste belge Dries Depoorter, lancé lundi 5 juillet 2021 en ligne, et qui analyse en direct le flux des réunions du Parlement flamand sur YouTube, en quête des politiciens “distraits” par les réseaux sociaux.

Ce “service public divertissant” est pour l’artiste une manière de critiquer les “dangers de la reconnaissance faciale”, explique-t-il au média américain, qui attend impatiemment que l’artiste ouvre le code du programme pour le voir appliqué aux sessions du Congrès américain.

The Flemish Scrollers ressemblent “beaucoup au programme Rekognition d’Amazon”, qui accuse un taux d’erreur de près de 35 % pour les femmes à la peau foncée notamment. Une ressemblance pas vraiment fortuite. L’artiste Dries Depoorter “rappelle les innombrables abus de la police, qui se trompe dans l’identification des suspects en ayant recours aux caméras des smartphones, aux interphones, aux publications des réseaux sociaux et aux caméras de surveillance”.

Retourner les outils de la reconnaissance faciale contre les hommes politiques “pourrait aider à limiter ses conséquences dévastatrices et motiver les législateurs à agir”, explique le site. Pour le moment, c’est aux Flamands de “demander à [leurs] représentants de faire leur travail” sur le fil Twitter du projet.

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7 juillet 2021

ART-GENT ......

L’hommage à Johnny Hallyday se transforme en histoire à dormir debout..... Quelle idée, pour célébrer l’idole des jeunes, de s’adresser à un artiste d’A.C.comme Bertrand Lavier, l’homme qui met un frigo sur un coffre-fort ! Notre conceptuel national projette de percher une vraie moto, une Harley, sur un manche géant de guitare, devant l’Accor Aréna de Paris. Fureur des écolos qui y voient une apologie de la pollution et du machisme réunis. Personne ne parle de la pollution visuelle par un kitsch pétaradant. Comment le nom de Lavier est-il sorti du chapeau, où sont les appels d’offre, les concours républicains ? Mystère.

Par ailleurs, sur quels critères seront choisis les heureux bénéficiaires des grandes commandes relançant la création après le Covid ? D’où sort le comité ad hoc de 9 « professionnels », réunis sous la houlette de B. Blistène, pour la distribution de la manne financière, soit trente millions d’euros d’argent public ?

LE GRAIN DE SEL - Christine SOURGINS

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